Lumière sur Cybercriminalité

Comment pouvons-nous am�liorer la culture de s�curit� dans nos organisations ? Notre �quipe de s�curit� ne cesse de revenir sur cette question fondamentale et nous cherchons constamment des moyens d’aider. nPourquoi ? Le renouvellement de culture est un facteur de succ�s important dans nos programmes de s�curit� et dans quasiment tous les projets de technologie ou d’innovation. Nous continuons � demander : y a-t-il une meilleure fa�on ? nM�me si les nouvelles solutions mobiles et l’informatique en nuage transforment notre style de vie et de travail, les experts du secteur soulignent de nombreux d�fis pour poursuivre le changement de culture de s�curit�. nL’un des moyens basiques de commencer revient � mettre en place ( et � am�liorer constamment ) un programme solide de sensibilisation � la s�curit� pour tous les employ�s et une formation � la s�curit� pour des employ�s sp�cifiques selon les besoins du commanditaire. nCe sujet fait surface presque partout o� je vais. Les utilisateurs finaux qui cliquent sur des liens, donnent des mots de passe ou connectent des cl�s USB infect�es par des logiciels malveillants ont �t� abord�s cette semaine lors du Cyber Summit de l’Universit� d’Oakland. nEn solution, le renforcement de la culture de la s�curit� est inscrit comme la priorit� indeniable dans de nombreux rapports sur la s�curit� internationale, y compris cette �tude de cas du Royaume-Uni publi�e � la fin de l'an dernier.

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d'un autre c�t�, contrairement aux principales soci�t�s �mettrices de cartes de cr�dit, de nombreuses institutions bancaires ne disposent pas de syst�mes sophistiqu�s de d�tection des tricheries comp�tent de localiser et d’alerter les propri�taires de soci�t�s des ateliers suspectes ou inhabituelles sur leurs comptes bancaires. Par exemple : nSi vous passez dans deux �tats am�ricains et que vous utilisez votre carte de cr�dit pour poss�der de l’essence, la soci�t� �mettrice de carte de cr�dit vous nomme pour dire qu’elle est hors du commun, mais la plupart des �tablissements bancaires n’en ont aucune id�e, a d�clar� Mark Patterson, dont la soci�t� de construction Patco, � Sanford, dans le Maine, a �t� vol� 588 000 dollars en 2009 par ZeuS Trojan, un malware. Notre banque n’avait aucune alarme � lui dire pendant cinq nuits inint�rompues, Patcos virant de l’argent dans tout le pays en Californie, en Floride, des endroits o� nous n’envoyons naturellement pas de sous, et s�rement pas � partir d’une adresse IP ext�rieure aux �tats-Unis2 - Les enseignes sont fr�quemment victimes de arnaque bancaire et cybercriminalit�. Les r�sultats ont �t� r�v�lateurs : n74% des r�pondants ont d�clar� que leur entreprise avait �t� victime de fraude bancaire en ligne. 52% ont d�clar� que leurs comptes bancaires commerciaux avaient �t� la cible d’incidents de escroquerie r�ussis et infructueux au cours des 12 mois anciens.

Selon l’�tude, parmi les enseignes fraud�es : n85% ont �t� victimes de arnaque par carte de cr�dit ou de d�bit - 85% ont eu un acc�s non autoris� � un compte - 19% ont subi un virement �lectronique non autoris� - 36% ont aussi d�clar� que des informations vol�es de leur compte bancaire en ligne avaient �t� utilis�es pour commettre une arnaque par ch�que - lorsque l’�tude abordait sp�cifiquement la question de pertes de escroquerie et remboursement, parmi ceux qui ont d�clar� avoir �t� victimes d’incidents de escroquerie, seules 16% des soci�t�s ont d�clar� que leurs �tablissements bancaires avaient d�tect� et compl�tement arr�t� la escroquerie avant que l’argent ne soit vol�. nParmi les cas dans lesquels de l’argent a �t� vol� : n12% ont d�clar� que leurs institutions bancaires avaient pu r�cup�rer la totalit� de l’argent vol� - 20% des entreprises ont indiqu� que leur banque avait d�dommag� int�gralement les fonds non recouvr�s - 21% des soci�t�s ont mentionn� que leur banque avait ' en partie ' rembours� les fonds non recouvr�s - 59% des soci�t�s fraud�es ont subi des pertes sans remboursement - Les cybercriminels peuvent taper vite et fort - En seulement 20 incidents distincts li�s � la cybercriminalit� examin�s par le FBI, les pertes subies par les enseignes victimes se sont �lev�es � 11 millions de dollars. 3 - Quelques exemples : nLe district scolaire public Western Beaver en Pennsylvanie a intent� une action en justice contre sa banque apr�s que des cyber-voleurs eurent employ� un software malveillant pour siphonner plus de 700 000 dollars du compte de l’�cole � ESB.