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J'ai découvert PROMETHEUS

Les différences de prix selon les les types de répliques Le premier élément qui se conduit sur le coût diverses répliques est le type de système de propulsion de la bille. Dans la tranche la moins coûteuse, retrouvez les types appelés « Spring ». Leur système est à rechargement manuel, le plus simpliste. Ensuite, viennent les répliques fonctionnant au CO2, ou au gaz, aux spécificités et qualité supérieures, donc plus onéreuses. Puis, pour ceux qui peuvent dépenser plusieurs centaines d’euros dans leur replique, ils peuvent se procurer des Automatic Electric Guns ( AEG ) ou encore des Gaz Blow Black Recol ( GBBR ), d’une gamme bien supérieure aux deux autres genres de réplication. Généralement pour les AEG, il faut être vigilent et notamment prêter attention à plusieurs données. La qualité des pièces internes, pour permettre une meilleure précision, la qualité du moteur agissant sur la cadence et le dynamisme, la qualité générale des matériaux de la copie, sa durabilité, son niveau de réalisme, sans oublier sa marque. Il ne faut pas oublier que le coût de la réplication change selon les accessoires dont elle dépend, et avec lesquels elle est vendu. Certains distributeurs proposent dans certains cas des coffrets comprenant des objets accesoires tels qu’une poignée subterfuge, une housse survivor de déplacement, une visée, des chargeurs, et tant d’autres éléments complémentaires, ou consommables.

Source à propos de MSA

La puissance indiquée d’une réplique est-elle la même sur le terrain ? Quelle tristesse quand on imagine acheter une duplication de 1, 5 joules, et qu’on se trouve au final en possession d’une duplication entre 0, 8 et 1 joule. C’est fréquemment le cas, malheureusement. En effet, les distributeurs n’affichent pas la capacité générale de la duplication, mais sa capacité maximale. La réplique ne l’atteindra sûrement jamais sur le terrain. Mais la frustration est de écourtée durée car c’est la portée de tir, et non la puissance de tir, qui importe aux airsofteurs. de nombreuses parties sont encore plus interdit aux répliques d’une trop grosse puissance. Le débutant en airsoft est tenté de toujours souhaiter aller trop rapidement, trop fort. beaucoup de novices pensent ( à tort ) qu’augmenter leur puissance de tir au maximum leur permettra d’être plus respectables ou meilleurs sur le terrain. Finalement, c’est tout le tout autre. La norme dictée habituellement aux airsofteurs durant les parties est inférieure à 1, 1 joules ( moins de 350 FPS ).

Mesurer l’énergie d’une réplique Une production d'énergie de 2 joules correspond à 460 FPS pour une bille de 0, 20 gramme. En effectivement, pour connaître l’énergie d’une réplique, il faut connaître la vitesse des tirs, ainsi que le poids des billes chargées dans la duplication. Il est envisageable, avec l'aide d’un consommateur de temps, d’effectuer des contrôles de vitesse. Grâce à des capteurs, l’instrument mesure la vitesse de la bille tirée. Les conditions climatiques, la température, la quantité de CO2 restante, le degré de la batterie, et le degré d’entretien du matériel ( piston notamment ) peut faire changer cette vitesse. Il est en ce sens fortement recommandé procéder à plusieurs mesures et d’en faire une moyenne pour atteindre la vélocité réelle de votre copie. Améliorer la portée de sa reproduction Afin de perfectionner la portée des tirs d’une copie, on peut exécuter des modifications. Elles vont améliorer la réplique tout en préservant une puissance de tir inférieure aux 2 joules obligatoires. Pour régler la portée d’une réplication, il faut se diriger vers le hop-up. Innové par Tokyo Marui en 1993, ce système permet d’augmenter la portée de sa copie pour ne pas pour autant modifier la vitesse de sortie du canon. Inspirée de l'aspect Magnus, consistant à donner un effet de rotation au projectile au long de sa trajectoire afin d'augmenter sa portée, cette rotation permet de gagner en distance. Cette technique est utilisée pour pouvoir faire voler les avions.

Texte de référence à propos de MODIFY

Régler convenablement le hop-up d’une réplique. Pour que ce système soit infaillible, il faut qu’il soit convenablement réglé. Si la bille reçoit trop d’effet, la trajectoire de la bille risque de trop augmenter, et dans le cas tout autre, elle chutera rapidement au sol. il faut trouver le bon réglage pour permettre à la copie de tirer ses billes le plus loin possible. Ce système est en général un endroit en caoutchouc permettant de réduire le diamètre du canon, afin de permettre de rentrer en contact avec le projectile afin de lui infliger une poussée rotative. La plupart des répliques contienne une vise permettant de résoudre le hop-up. Afin de le résoudre convenablement, il est conseillé procéder à des contrôles en tirs pour se faire une idée de le réglage optimal. Pour cela, vous devez prêter attention à la portée de la bille, ainsi qu’à la courbe opérée par el projectile durant sa trajectoire. Les étapes nécessaires au bon réglage du hop-up : • Dévisser au maximum la vis et réaliser quelques tirs. La bille tombe rapidement au sol. • Resserrer à faible allure la vis en faisant attention à la portée et la courbe de la bille, et ce à chaque réglage. La portée s’agrandit, le projectile tombe moins rapidement au sol. • dès que la portée commence à diminuer, desserrer un peu la vis. Voilà, vous avez trouvé le réglage optimal. Félicitations ! Ces réglages vous donneront la possibilité de doubler votre portée par deux, ce qui est bien entendu pas du tout négligeable. Vous toucherez beaucoup plus aisément vos cibles, ainsi que vos adversaires de loin. Si malgré ces réglages, la portée de votre duplication n’augmente pas, il faudra penser à changer votre dispositif hop-up, il est certainement défaillant.

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